Problèmes dynamiques explicites (NDYN=1) :

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Rappel des gestions du pas de temps:

Pour rappel, en dynamique explicite la durée du pas de temps pour avoir un schéma stable doit être inférieure à 2/wmax.

 

Actuellement les deux méthodes qui existent (Flanagan Belytschko .MDE ICRI=1 et Longueur caractéristique .mde ICRI=0 (par default)) ne sont que des approximations par défaut de ces valeurs.

Une méthode proposée par Benson permet de calculer la valeur exacte par itération. Cette option est choisie par le paramètre .MDE ICRI=2. Dans ce cas, les premiers pas se font par Flanagan Belytschko jusqu'à avoir convergence de la fréquence propre. A partir de ce moment on a rigoureusement Dt=2/wmax.Ce qui correspond à des pas de temps >= à ceux des autres méthodes.

 

En résumé, pour la dynamique explicite:

 

On vous conseille:

.MDE ICRI=2

 

Nouveaux développements :

 

En réalité on a Dt=2g/wmax avec g la sécurité qui tient compte des non-linéarités. Il s’agit de calculer la sécurité en estimant l’erreur d’intégration. Si l’erreur d’intégration est faible, la sécurité augmente jusque la valeur initiale (. MDE GAMA), alors que dans le cas contraire la sécurité diminue pour assurer la stabilité. Dès lors la sécurité initiale peut être choisie proche de 1 (0.95 par exemple). La tolérance de l’erreur d’intégration est choisie par .MDR PRCU [1E-4].

 

Cette option d’évaluation automatique de la sécurité est activée avec les méthode de la longueur caractéristique, de Flanagan Belytschko et de Benson pour respectivement .MDE ICRI= 3, 4, 5.

 

En résumé :

Ce calcul n’est intéressant que lorsque des sécurités très petite doivent être utilisées pour faire passer le cas test. Par exemple pour le cylindre de Laursen, une sécurité de 0.2 doit être utilisée. Avec la nouvelle méthode, une sécurité initiale de 0.95 est utilisée associée à une tolérance 1E-4 . La sécurité est réduite au cours de l’évolution du problème ce qui permet d’avoir une solution stable avec le moins possible de pas.

 

Un exemple de cas test se trouve dans /DatZ/lau_expl_sec.dat

 

 

Problèmes dynamiques implicite (NDYN=0 ou 2) :

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Le critère de rejet du pas est légèrement modifié. Il y a rejet si le résidu à l’itération n+3 > résidu n+1 et si, simultanément le résidu n+2> résidu n. Cela devrait permettre de déceler la plupart des divergences.

 

Tous type de problèmes en 2D.

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Précédemment , il fallait entrer les nœuds d’auto contact ou de contact défo/défo selon leur ordre de succession dans l’espace. Maintenant, une nouvelle routine le fait pour vous (preautodd.c) en nouvelle tête 2D. Il suffit donc de créer une sélection de nœuds en utilisant des boîte, des lignes… Il sont alors triés pour former une suite de nœuds qui se suivent dans l’espace. Dans le cas ou la sélection est fermée, le programme le détecte. Il ne faut donc plus le préciser dans le jeu de donnée. Néanmoins il reste à implémenter le 3D.

 

Deux cas tests utilisant cette méthode de prepro sont /DatZ/hemm_cont.dat, /DatZ/billa_cont.dat et /DatZ/laurs_cont(2).dat